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Chez la femme, les cancers du système reproducteur incluent le cancer de l’ovaire, des trompes de Fallope, de l’endomètre, du col de l’utérus, ainsi que le cancer du sein. Yojiro Yamanaka étudie les mécanismes associés au développement des cancers de l’ovaire et des trompes de Fallope. Le laboratoire d’Éric Asselin cherche à comprendre les mécanismes de résistance à la chimiothérapie dans les cancers de l’endomètre et de l’ovaire. Derek Boerboom s’intéresse aux mécanismes de communication entre les cellules et à la manière dont leur dérèglement peut conduire à des cancers touchant l’ovaire, l’utérus et la glande mammaire. Nicolas Gévry se concentre sur la régulation hormonale des systèmes reproducteurs, en particulier dans le cancer du sein. André Tremblay analyse comment certains gènes sont activés ou désactivés dans le cancer du sein et de l’ovaire, en étudiant les mécanismes qui contrôlent l’expression génétique et favorisent la transformation cancéreuse. L’équipe d’Isabelle Plante explore l’impact des perturbateurs endocriniens — des substances chimiques capables de modifier le fonctionnement hormonal — sur le développement du cancer du sein.
Chez l’homme, le cancer de la prostate constitue l’un des cancers les plus fréquents. Étienne Audet-Walsh s’intéresse au rôle des hormones et des altérations métaboliques dans l’initiation et l’évolution de ce cancer, dans le but d’identifier de nouvelles cibles thérapeutiques. Clémence Belleannée étudie pour sa part les mécanismes de signalisation cellulaire impliqués dans le cancer de la prostate.
L’équipe de Carlos Reyes-Moreno se concentre sur le rôle des cytokines, des molécules liées à l’inflammation, dans le développement du cancer. Elle cherche à comprendre comment ces signaux modulent le métabolisme des cellules cancéreuses et des macrophages présents dans les tumeurs, et explore le potentiel de substances naturelles ou synthétiques à effet anti-inflammatoire pour freiner la progression tumorale.