Biologie cellulaire

Tous les organismes vivants sont constitués d’unités biologiques de base appelées cellules. La biologie cellulaire étudie les cellules du point de vue de leur structure, de leur fonctionnement et de leur comportement.

Appliquée à la science de la reproduction, la biologie cellulaire permet de comprendre comment des processus comme la division cellulaire, la différenciation (acquisition de caractéristiques distinctes par différents types de cellules), la communication cellulaire et d’autres mécanismes influencent la fertilité et la santé de la descendance. Au sein du Réseau Québécois en Reproduction (RQR), plusieurs équipes cherchent à mieux comprendre ces mécanismes complexes.

L’équipe de Clémence Belleannée s’intéresse à la signalisation cellulaire par le cil primaire, une antenne présente à la surface de la plupart des cellules du corps ; son absence peut perturber la fertilité et contribuer au développement de cancers, comme le cancer de la prostate. Étienne Audet-Walsh étudie comment les hormones sexuelles, comme les androgènes et les estrogènes, influencent les cellules de la prostate et de la glande mammaire, et comment des substances appelées perturbateurs endocriniens peuvent modifier ces effets en agissant sur le fonctionnement et le comportement des cellules.

Pour démontrer que les cellules de l’épididyme, un organe du système reproducteur masculin, interagissent avec les spermatozoïdes et participent ainsi à la fertilité, Sylvie Breton utilise différentes approches de biologie cellulaire, notamment la microscopie. Daniel Cyr, également intéressé par l’épididyme, étudie comment l’environnement influence la différenciation cellulaire et peut nuire à la fertilité masculine.

Jullien Flynn utilise la drosophile (mouche des fruits) pour montrer que certaines régions répétitives de l’ADN, appelées ADN satellite, peuvent provoquer des erreurs dans la division des cellules et affecter la fertilité. De son côté, Greg FitzHarris combine des outils génétiques et de microscopie avancée pour comprendre les causes et les conséquences des erreurs de division cellulaire sur les cellules germinales féminines (les ovocytes) et les embryons.

William Pastor, PhD

Professeur adjoint, Département de Biochimie, McGill University

axe de recherche 3

  • Biologie cellulaire
  • Biologie du développement
  • Embryologie
  • Épigénétique
  • Implantation et grossesse

Aimee Ryan, PhD

Professeure titulaire, McGill University

axe de recherche 2

  • Biologie cellulaire
  • Biologie du développement
  • Biologie moléculaire
  • Embryologie

Teruko Taketo, PhD

Professeur, McGill University

axe de recherche 3

  • Biologie cellulaire
  • Biologie de reproduction femelle
  • Infertilité

Christopher Price, PhD

Professeur titulaire, Université de Montréal

axe de recherche 1

  • Biologie cellulaire
  • Biologie de reproduction femelle
  • Régulation hormonale / Endocrinologie
  • Santé animale

Makoto Nagano, DMV, PhD

Professeur agrégé, McGill University

axe de recherche 1

  • Biologie cellulaire
  • Biologie de la reproduction mâle
  • Biotechnologie de la reproduction
  • Infertilité

Serge McGraw, PhD

Professeur sous-octroi agrégé, Chef adjoint de l'axe Pathologies foetomaternelles et néonatales, Université de Montréal

axe de recherche 3

  • Biologie cellulaire
  • Biologie du développement
  • Épigénétique
  • Modèles animaux
  • Multiomiques

Loydie A. Jerome-Majewska, PhD

Professeure agrégée, McGill University

axe de recherche 3

  • Biologie cellulaire
  • Biologie du développement
  • Embryologie
  • Génétique / Génomique

Pierre Leclerc, PhD

Professeur titulaire, Université Laval

axe de recherche 3

  • Biologie cellulaire
  • Biologie de la reproduction mâle
  • Biotechnologie de la reproduction
  • Infertilité

Yojiro Yamanaka, PhD

Professeur agrégé, McGill University

axe de recherche 2

  • Biologie cellulaire
  • Biologie de reproduction femelle
  • Biologie du développement
  • Cancers des systèmes reproducteurs
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