
Bernhard Payer, PhD
Professeur agrégé
axe de recherche 3
Coordonnées
- 514 345 4931 poste 4190
- bernhard.payer@umontreal.ca
- https://recherche.chusj.org/fr/Axes-de-recherche/Bio?id=3e6cb7b9-8150-4b0f-8fa2-713da2fd9faf
- Université de Montréal
Centre de Recherche Azrieli du CHU Sainte Justine. Bureau 7.17.026
3175 Côte Sainte-Catherine
Montréal, H3T 1C5, Québec, Canada
Intérêts de recherche
Notre laboratoire se concentre sur le décryptage des mécanismes et des rôles biologiques de la reprogrammation épigénétique pour la pluripotence et le développement des cellules germinales et des ovocytes. Nous étudions spécifiquement les processus d’inactivation et de réactivation du chromosome X, modèles classiques de régulation épigénétique, en développant des systèmes de reprogrammation iPSC et des systèmes organoïdes de développement des cellules germinales et des ovocytes adaptés à la souris et à l’homme. Nous avons ainsi fait des découvertes fondamentales sur l’interaction entre la structure du génome en 3D, l’épigénétique et la transcription et l’importance du remodelage du chromosome X pour la méiose et l’oogenèse. En outre, en collaboration avec la clinique, nous avons étudié par RNA-Seq à cellule unique l’impact du vieillissement sur le transcriptome de l’ovocyte humain et nous avons dérivé des lignées iPSC humaines de différentes origines cellulaires et testé leur capacité de différenciation des cellules germinales.
L’objectif futur de notre laboratoire est d’approfondir nos connaissances sur les événements de reprogrammation épigénétique au cours du développement des cellules germinales et de contribuer ainsi au développement de meilleurs modèles organoïdes in vitro du développement des ovocytes de la souris et de l’homme, qui récapitulent plus fidèlement la situation in vivo. Ces modèles in vitro ouvriront le champ de la reproduction à des études mécanistes approfondies et faciliteront également la modélisation de maladies spécifiques aux patients, offrant ainsi des perspectives inestimables sur les troubles de la fertilité chez l’homme. En outre, ces systèmes in vitro pourraient constituer des plateformes polyvalentes pour tester les médicaments de fertilité ou de contraception et pour évaluer l’impact des toxines environnementales, des produits chimiques ou des médicaments sur le système reproducteur.
Membres du laboratoire
Laurie Pinel, PhD
Associée de recherche
laurie.pinel.hsj@ssss.gouv.qc.ca
Karen Freire Carvalho, PhD
Postdoctorante
karen.freire.carvalho.hsj@ssss.gouv.qc.ca
Raghunandan D Ravi
Candidat au PhD
raghunandan.denkanikottai.ravi@umontreal.ca