Jacques Drouin, PhD
Directeur, Unité de recherche en génétique moléculaire, Institut de recherches cliniques de Montréal
axe de recherche 3
Adresse complète
- 514-987-5680
- jacques.drouin@ircm.qc.ca
- https://ircm.qc.ca/fr/recherche/neurobiologie-et-developpement/genetique-moleculaire#tab-direction
- Institut de recherches cliniques de Montréal
Laboratoire de génétique moléculaire
110, avenue des Pins Ouest
Montréal QC Canada H2W 1R7
Intérêts de recherche
L’hypophyse est la glande maître du système endocrine et à ce titre elle contrôle la fonction des gonades. Nous nous intéressons depuis longtemps au mécanisme de régulation de l’organogénèse, de la différenciation cellulaire et de la fonction hypophysaire, ainsi que leur impact sur les organes cibles, tout particulièrement les gonades et les surrénales. Nous avons découvert le facteur de transcription Pitx1 et montré son rôle dans l’organogénèse hypophysaire, ainsi que dans la transcription des gènes encodant les hormones hypophysaires, tout particulièrement la POMC et les gonadotropines. La découverte du facteur de transcription Tpit a montré son importance dans la différenciation des cellules POMC de l’hypophyse ainsi que son rôle antagoniste de la différenciation des cellules gonadotropes. La relation particulière entre les lignées POMC et gonadotropes ne se limite pas à leur origine à partir d’un précurseur commun, mais aussi à des interactions privilégiées à l’intérieur de réseaux cellulaires homotypiques et interdépendants. Ces interrelations intègrent l’activité des différents axes de régulation entre l’hypophyse et les tissus endocrines périphériques, et dans le cas présent, ont un impact sur la fonction de l’axe gonadotrope.
Plus récemment, nous avons observé l’expression d’une isoforme du facteur de transcription Tpit dans l’ovaire et la structure de la protéine encodée par cette isoforme supporte l’hypothèse qu’elle puisse contribuer à la maturation des oocytes. Ces observations suggèrent la possibilité d’un rôle important dans la performance reproductive et nous étudions présentement cette hypothèse. Comme dans nos autres travaux, nous utilisons tout l’éventail des approches génétique, épigénétique et de biologie moléculaire classique dans l’investigation de cette hypothèse.
Membres du laboratoire
Arthur Gouthier, BSc
Étudiant à la maîtrise
arthur.gouthier@ircm.qc.ca
Justine Gagnon, BSc
Étudiante à la maîtrise
Justine.Gagnon@ircm.qc.ca
Juliette Harris, MSc
Étudiante au doctorat
juliette.harris@ircm.qc.c
Virginie Bascunana, MSc
Étudiante au doctorat
virginie.bascunana@ircm.qc.ca
Ryhem Gam, MSc
Étudiant au doctorat
ryhem.gam@ircm.qc.ca
Kevin Sochodolsky, MSc
Étudiant au doctorat
kevin.sochodolsky@ircm.qc.ca
Audrey Pelletier, MSc
Étudiante au doctorat
audrey.pelletier@ircm.qc.ca
Amandine Bemmo
Assistante de recherche – Bioinformatiques
amandine.bemmo@ircm.qc.ca
Yves Gauthier
Assistant chercheur
yves.gauthier@ircm.qc.ca
Aurélio Balsalobre, PhD
Chercheur associé
aurelio.balsalobre@ircm.qc.ca
Konstantin Khetchoumian, PhD
Chercheur associé
khetchk@ircm.qc.ca